Lu des aphorismes de Philippe Besson. D'une platitude commune!
Marre des références constantes à des penseurs surestimés, comme Barthes, Lacan ou Lévinas, ou des références spirituelles ineptes, comme le Dalaï-lama, l'imbécile béat, l'Océan de niaiserie.
Sarkozy a souhaité un bon anniversaire à Cyril Hanouna. Que ce soit démagogie ou réelle inclination de l'esprit (même si on ne peut parler d'esprit à ce niveau) ça situe l'insignifiance et la bassesse du personnage.
Jack Lang, en plus d'avoir crée cette abominable fête de la musique, est passé chez Hanouna et s'est prêté à des pitreries démago. Il est marqué maintenant. C'est un pauvre type.
Bolloré, qui plébiscite Hanouna, Debbouze et consort, fait honte à la Bretagne. Pour lui seul, il faut un Chateaubriand, un Maupertuis, un La Mettrie pour équilibrer.
Comment faire comprendre aux lecteurs de Marc Lévy et Guillaume Musso, et aux abrutis médiatiques, que D'Ormesson ou Nothomb ne méritent pas d'être appelés écrivain?
Bernard Tapie est l'homme peut-être le plus amoral de ce pays, et même de la planète entière, et le plus boursouflé d'ego, le plus suffisant.
"Les Valseuses" est un film malsain. On présente comme de braves types 2 ordures qui violent des femmes, agressent tout le monde et ne respectent rien. En quoi agresser sexuellement des femmes est révolutionnaire, anti-conformiste, et anti-bourgeois? Film fasciste.
Télérama est la meilleure revue TV. C'est dire le niveau.
Il serait temps qu'on remette Luchini à sa vraie place, celle de bouffon superficiellement cultivé, et qu'on cesse de le croire génial. Adoration béate d'une frange cultivée de la population pour ce personnage sympathique mais médiocre dont on se demande s'il a lu autre chose que Flaubert (écrivain surestimé, et terriblement ennuyeux), Céline, Baudelaire et Nietzsche (bon poète mais philosophe immature dont on doit dépasser la pensée à 14/15 ans).
Audiard, un autre de ces types dont on loue le génie des dialogues, ce qui est exaspérant. Léonard de Vinci, Mozart, Balzac, Einstein sont des génies. Qu'on mette sur le même plan n'importe quel homme ayant quelque talent est pénible, et signe de grande décadence, symptôme de la triste réalité du temps. La foule niveleuse a pris le pouvoir.
Coluche, le comique dont le génie consistait à se mettre une plume dans le cul et à restituer 2/3 idées simples, qui a néanmoins fait illusion et a permis l'émergence de tous ces êtres aussi vulgaires que lui, Bigard, Debbouze, ou Elmaheh dont l'abjection, comme la mystique, est au-delà des mots, car "ce qu'on ne peut dire, il faut le taire". Dans une société saine, on en contiendrait l'horrible influence, comme on empêcherait des animateurs comme Coe, Arthur, Hanouna, ou Sébastien d'abrutir et d'infantiliser les gens.
Ruquier, dont un des films préférés est "Danny the dog", s'est vu confier une émission sur le cinéma, auquel il n'entend rien. On ne prête qu'aux riches.
Ardisson, l'inoubliable inventeur de "Quand c'est trop, c'est Tropico" (lui qui avait l'ambition d'être écrivain, la pub lui était en effet apparemment plus accessible que "Les Illusions perdues", encore que ses illusions...) est un animateur plus cultivé que les autres, bien que tout aussi démago. Le parrain de son fils est Paulo Coelho. Heureusement qu'il aime l'histoire car avec le choix d'un tel parrain, on ne donne pas cher de ses goûts littéraires.
Nabe, c'est un hystérique sans fond. Il s'exalte sur des riens et n'est que répétition.
Baer, Beigbeder, Bedos, la clique des grands bourgeois qui se croient géniaux et usurpent la place de plus valeureux Des fils de, des publicistes dont les D'Arthez se gaussent. A lui seul, Beigbeder, avec son prix Renaudot, décrédibilise toute récompense littéraire pour des siècles et des siècles.