Il existe un, des courants actuels du féminisme qui desservent leur cause.
-Haine des hommes hétéros blancs, on ne sait pourquoi, car ils sont moins violents envers les femmes que tout autre peuple.
-Critique de faux problèmes. La galanterie française comme violence faite aux femmes car censée les confiner à un statut de « fragile victime ». Mais d’abord, ce sont elles qui, hélas, s’exposent telles, se voient telles. C’est paradoxal de vouloir montrer qu’on est forte et se victimiser tout le temps. D’autre part, cette critique de la galanterie peut se discuter en effet, mais il y a des priorités. Entre la lapidation, les viols, l’excision de millions de femmes, et la stigmatisation de la courtoisie, et orienter ses combats sur cette courtoisie, c’est non seulement ridicule, mais criminel.
-L’écriture inclusive, qui est une novlangue destructrice de toute culture.
-Le désir d’insister sur des femmes écrivains, auteurs, et de les mettre en valeur à tout prix, ridicule quand on compare les figures mises en avant aux classiques. Annie Ernaux, Angot, Nothomb, Vargas, Despentes par exemple. Du roman de gare, et ce n’est pas les mépriser que de dire qu’elles n’ont aucune valeur par rapport à Balzac, Proust, Céline, Dostoïevski ou Tolstoï, et qu’aucune femme, à ma connaissance, n’a réalisé une œuvre d’une profondeur égale à ces hommes. On peut le déplorer, regretter les nombreux déterminismes l’expliquant, mais c’est un fait. Démagogique de placer Virginia Woolf et Balzac sur le même plan. Il n’y a, à ma connaissance, aucun génie de la littérature de sexe féminin. Et il serait très facile de dire que c’est parce que l’histoire est écrite par des hommes. Car il y a des raisons que l’on peut exprimer sur cette différence de valeur, de même qu’entre Dostoïevski et Paulo Coelho. Tout ne se vaut pas. Il y a une hiérarchie. Et les préjugés masculins, machos envers les femmes écrivains se révèlent hélas fondées quand on observe la médiocrité des productions féminines actuelles, la nullité, l’absence de profondeur, d’intelligence des femmes écrivains, nullité abyssale, niaiserie de l’écriture, absence d’idées, manque d’amplitude et de souffle etc Ex avec Jane Austen : De petites historiettes tout au plus, un peu subversives, mais rien de comparable à un chef d’œuvre comme « Le Voyage au bout de la nuit ».
Quant au travail, il est triste de constater que ce que demandent les femmes avant tout, c’est d’intégrer le système marchand à égalité avec les hommes, et d’accéder au pouvoir, à la domination mesquine. Une citation de Laborit l’illustre : « A tel point que la femme qui aujourd’hui revendique une égalité avec l’homme, ne l’envisage le plus souvent que dans le cadre de l’ascension hiérarchique professionnelle, celui des satisfactions matérielles liées au statut hiérarchique, qui est fonction lui-même du degré d’abstraction atteint dans l’information professionnelle. Ce que la femme exige avant tout, c’est d’entrer à armes égales dans le processus de production et de bénéficier des mêmes gratifications que ce processus octroie. » « Eloge de la fuite ; La vie quotidienne »