Que veulent les femmes ? La parité en tous domaines, politiques, affaires, culture, même quand ce n’est pas justifié? Or, c’est si peu justifié. Que croient-elles, que la condition des hommes est plus enviable ? Que mourir quelques années plus tôt est un avantage ? Que travailler de ses mains à la mine, en haute mer, c’était plus facile ? Que mourir ou être mutilé en 14-18, en 39-45, en Algérie ou en Indochine, c’était mieux que leur sort ? Pourquoi est-ce toujours aux hommes de payer, pourquoi elles trouvent cela normal si elles veulent l’égalité ? Elles ne veulent pas se maquiller ou faire d’efforts pour plaire aux hommes. Pensent-elles vraiment que les hommes ne font pas d’efforts pour leur plaire ? Le travail, le sport, toutes sortes d’attention plutôt que le laisser aller, c’est pour elles qu’on le fait.
Elles protestent : «Un homme qui couche avec pleins de femmes, c’est un séducteur, une femme une salope ». Question : Pourquoi cette mentalité n’a pas changé, malgré la libération sexuelle, le féminisme etc ? Parce que, n’en déplaise aux sociologues, l’évolution biologique l’a fait ainsi. L’intérêt masculin, c’est de féconder une femme après l’autre, l’intérêt de la femme, c’est de sélectionner le meilleur mâle reproducteur, et de le garder pour la protection des enfants.
Par conséquent, plus un homme est coureur, plus il est valorisé parce que bon reproducteur, plus une femme, au contraire est inaccessible, difficile, plus elle est valorisée car elle sélectionne plus, et est ainsi meilleure reproductrice. C’est donc l’attitude inverse qui est valorisée chez les deux sexes, et ça s’ancre dans le biologique. C’était comme ça, c’est comme ça. Ca ne le sera peut-être plus car avec les évolutions scientifiques, les méthodes contraceptives, il y a moins la nécessité de sélectionner pour les femmes. Mais cette caractéristique des sexes est ancrée profondément dans notre psyché car elle est ancrée dans nos corps depuis des millions d’années. Les femmes, beaucoup, s’insurgent quand elles entendent ça. C’est normal, elles sont programmées pour le faire, pour se leurrer elles-mêmes et servir les intérêts de l’espèce.
Ensuite, l’idée que les hommes doivent s’occuper des enfants est une aberration. C’est la femme, qui, intuitivement, par le développement d’hormones spécifiques, notamment lors de la grossesse, comprend l’enfant et sait, sent ce dont il a besoin. Notre société n’est pas dominée par les hommes, c’est ce que les femmes veulent nous faire croire. En réalité, elle est entièrement au service de l’intérêt des femmes. Les hommes, avec les pensions alimentaires, ne peuvent pas suivre leur instinct et leur inclination, qui est de passer d’une femme à l’autre, sitôt que l’une est fécondée. C’est donc une frustration constante à laquelle est soumis l’homme. On va jusqu’à lui reprocher d’être un coureur et de prendre maîtresse quand son épouse ne veut pas satisfaire à ses besoins sexuels. Il n’a plus qu’à se pendre, dépressif, car son instinct le pousse à l’aventure.
Tempéraments et besoins complètement opposés.
