L’islam est une religion d’amour, comme on l’entend souvent. C’est pour cela que l’on décapite en son nom, fouette les amoureux, coupe les mains des voleurs, excise les petites filles, lapide les femmes adultères, tue les apostats, prône l’assassinat des « mécréants » ou « déviants », libres penseurs, homosexuels, légitime l’esclavage, et l’esclavage sexuel.
Les musulmans se seraient-ils égarés, éloignés du texte ? Les chrétiens n’ont-ils pas commis des actes terribles ? Les bouddhistes eux-mêmes n’ont-ils pas été parfois violents ? Oui, mais chrétiens et bouddhistes sont en désaccord avec leurs livres. Jésus préconisait de tendre la joue gauche quand la droite était frappée. Il a empêché la lapidation d’une femme par « que celui qui n’a jamais pêché jette la première pierre. » Il n’a tué personne, n’a jamais appelé à tuer personne, n’a jamais violé, guerroyé, et s’est laissé mettre à mort, comme Socrate. Le Bouddha, idem, n’a jamais appelé à la violence. Il encourageait même ses disciples à le quitter s’ils n’étaient pas convaincus, et à trouver leur propre voie. Mais, dans le coran, dans les hadiths, la violence est omniprésente.