Ce terme, ce concept a été créé sciemment. D’une part, il sous-entend que la critique du seul islamisme est légitime, et pas de l’islam en tant que tel. Or, la critique de toutes les religions est légitime. D’autre part, le terme phobie renvoie à la pathologie, sous-tendant qu’on ne peut qu’aimer l’islam si on le connaît et si on est sain d’esprit. Or, on peut être sain d’esprit, et le connaître, et ne pas adhérer à ses dogmes. Je dirai même que plus on le connaît, plus on est atterré par tant de stupidités. Le coran est le livre d’un bédouin inculte du 7ème siècle.
Autant, dans l’Ancien Testament, le Mahabharata, par exemple, il y a des passages littéraires, des idées profondes, autant le coran est nul littérairement, et ne recèle aucune idée profonde, comme l’écrivait Schopenhauer. Toute religion inhibe l’intelligence. En donnant une certitude, elle empêche de chercher, se donne dès le début un obstacle à la recherche. Elle dispense l’individu de névrose individuelle, car elle est « névrose universelle de l’humanité », fiction consolatrice, comme l’écrit Freud. Mais l’islam est peut-être la religion qui repose sur le livre « sacré » le plus bête que je connaisse. Elle produit des idiots, et est amené, par le progrès des sciences et des connaissances, à disparaître.