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28 juillet 2012 6 28 /07 /juillet /2012 13:39

 

En France, les sciences humaines sont marquées par la métaphysique. Même Sartre, moniste matérialiste, pronaît l'existentialisme athée, l'idée que "l'essence précède l'existence" chez l'animal, mais que, chez l'homme, "l'existence précède l'essence". Sur cette base, on a voulu nier toute influence biologique en l'homme pour en faire un être essentiellement conscient, et libre. On a pensé que l'homme, par une mystérieuse propriété, transcendait son propre corps et qu'il se faisait lui-même, qu'il se constituait librement sa propre essence.

D'où le hola sur la sociobiologie, et tout courant de pensée rappelant à l'homme qu'il provient de la nature et qu'il n'échappe pas aux lois naturelles. Or, les faits, l'observation tendent à corroborer les théories sociobiologistes.

 

Certaines féministes prétendent qu'il n'y a pas d'instinct maternel chez la femme. En fait, il semble qu'elles étendent leurs carences propres, d'origine physiologique ou psychologique à toutes les femmes. Or, la majorité des femmes produisent des hormones spéciales à la naissance de leurs enfants, et même à la vue, au son, à la présence d'un enfant.

Des études ont montré également que leur objet de désir fluctuait selon leur cycle de menstruation.

D'autres études ont montré l'importance des odeurs dans l'attirance mutuelle. Tout se ferait inconsciemment, et l'on se choisirait en fonction de signaux tactiles, visuels, odorants, qui renseigneraient sur le patrimoine génétique du sexe opposé, et sa complémentarité éventuelle avec la nôtre.

Ainsi, par le baiser, on échange des infos, et l'autre personne nous plaît si ses gênes nous sont complémentaires, compatibles, c'est-à-dire si leur combinaison donnera la reproduction optimale, l'enfant qui sera doté du patrimoine génétique le plus apte à assurer sa survie.

Nulle liberté, nul choix dans l'attirance. Les hommes, comme les mâles, luttent pour la possession des femelles afin de se reproduire, et cherchent la pouvoir uniquement dans ce but, même s'il est inconscient.

Les femmes, comme les femelles, cherchent le meilleur reproducteur possible, et les femmes fécondes se déchirent à l'arrivée d'un mâle jugé bon reproducteur. Ainsi, dans le règne humain, il existe toute une gamme de signes de la puissance. Un homme peut bomber le torse, être macho et plaire. C'est primitif mais le macho fait un effort pour plaire, ce qui suppose de l'énergie, et donc est un point positif pour la survie. Si les femmes aiment les sportifs, c'est également parce que cela manifeste de l'énergie à dépenser, ce qui est prometteur sexuellement et d'un point de vue global sous l'angle de la reproduction pour la survie de la descendance.

L'idéal pour une femme, c'est un homme très viril, c'est l'essentiel, avec une intelligence qui lui permet l'adaptation, et quelques traits littéraires, une sensibilité quelque peu féminine. Ce genre d'hommes apportera la meilleure sécurité pour elle et sa progéniture. En effet, une brute sans finesse ne rapportera pas assez d'argent, et une brute rusée mais insensible sera susceptible d'égoïsme et de manque d'attention, voire d'abandon. Un être subtil et délicat mais peu viril sera par contre incapable de la "transporter", et donc ne la fascinera pas avec son pouvoir masculin.

Ainsi, chez les acteurs, les Marlon Brando, Paul Newman, Peter O Toole, Johnny Depp, Brad Pitt, Tom Cruise, ont par exemple en général plus de succès que les John Wayne, Robert Mitchum, Lino Ventura.

 

C'est un fait qu'une jeune femme ne sera pas attirée par un vieil homme pour son physique, son odeur, sa virilité mais donc uniquement pour son pouvoir. Ainsi, elle épousera un vieil homme très riche, un savant, ou un grand écrivain, un politique, car il y a là une utilité pour sa survie, et la sécurité d'une éventuelle progéniture.

La femme de 80 ans attirera moins, même très riche ou très puissante, car impropre à procréer.

Le poète maudit n'attirera la femme que si elle pressent en lui la potentialité d'émerger de sa situation de poète maudit, l'écrivain reconnu en puissance.

L'être humain, homme ou femme, qui perd sa puissance, totalement ou partiellement, perd son pouvoir de séduction.

Ainsi, qui aimera l'impotent, le débile, l'être déstructuré par l'accident, hormis ceux qui y sont attachés par le souvenir ou des êtres abymés et d'une puissance de vie équivalente ?

La mort annihile toute puissance et de fait on ne peut aimer un mort que par représentation de ce qu'il était vivant, jamais pour ce qu'il est actuellement. Et on ne peut donc être aimé, mort.

 

Pour conclure, la conscience n'est qu'un épiphénomène du corps, comme l'avait vu Nietzsche. Nous rationalisons nos instincts, les moralisons artificiellement, mais nous sommes bien plus animaux que nous le pensons.

"L'homme ne désire pas une chose parce qu'il la juge bonne, il la juge bonne parce qu'il la désire". Spinoza

 

 

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28 juillet 2012 6 28 /07 /juillet /2012 13:21

 

 Je regardais il y a peu un reportage sur les éléphants sur la 5. Cette chaîne passe plein de reportages animaliers fascinants.

Et une scène m'a particulièrement marqué. Lors de la naissance d'un éléphanteau, la mère et toutes les femelles du groupe n'avaient d'yeux que pour lui. Apparemment, la naissance d'un bébé animal produit chez les femelles une excitation intense, une jubilation, phénomène corrélé à une production d'hormones spécifique.

Or, le mâle dominant, écarté des sollicitations féminines, imposa sa présence en s'accouplant brutalement avec la mère et en écartant le petit éléphanteau avec sa trompe et ses pattes.

Ainsi, même chez les éléphants, même dans le règne animal, le père éprouve de la jalousie quand l'enfant paraît, et entre en rivalité avec lui.

Parfois, comme chez les lions, les "jeunes premiers" tuent les lionceaux nés d'autres mâles, et s'accouplent avec les femelles pour se reproduire, femelles incapables de s'entendre entre elles pour protéger les petits car celles qui n'ont pas enfanté ont besoin de sang neuf, de beaux jeunes mâles vigoureux  aptes à la meilleure reproduction possible.

 

On constate une rivalité Père/Fils similaire chez les hommes, qui est universelle et pas simplement pathologique.

En effet, il va de soi qu'à partir du moment où l'enfant naît, une part de l'attention de la femme vers l'homme est détournée vers le petit, ce qui entraîne toujours une forme de solitude pour le père, et une rivalité Père/Fils pour accaparer la sollicitude de la femme.

Cette situation sera plus ou moins bien gérée par le Père, selon sa maturité affective. Mais s'il s'avère immature, souffrant de carence affective, si par exemple son épouse assure un rôle de substitut maternel pour lui, la rivalité sera terrible, si intense qu'elle ne sera pas reconnue par le père en tant que telle, reléguée dans l'inconscient, mais ses effets seront dévastateurs. Cela générera de multiples refoulements, inhibitions, complications psychologiques pour le Fils, et des efforts surhumains pour s'en dépétrer, des problèmes d'identité et d'adaptation considérables.

Le Fils sera étouffé, broyé par les exigences paternelles, et incapables de s'en défendre, physiquement et psychologiquement !

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19 juillet 2012 4 19 /07 /juillet /2012 16:15

 

 C'est surprenant, le nombre de philosophes brillants qui se fourvoient par engluement dans l'idéologie ou l'affect. Ainsi d' Onfray, Conche ou Misrahi.

Comment est-il possible de postuler la liberté humaine et le matérialisme ?

Sartre a essayé et s'y est cassé les dents! Au fur et à mesure de ses tentatives de conciliation entre déterminisme des situations et liberté humaine, la liberté s'est réduite comme peau de chagrin. On ne peut se contenter d'un :"l'homme est libre parce qu'il est homme, il est homme parce qu'il est libre".

Si l'homme est libre, c'est parce qu'il a un corps d'homme le prédisposant à la liberté.

Un chien est-il libre? un débile léger, un être humain victime d'une grave attaque cérébrale sont-ils libres?

Il faut admettre que la liberté n'intervient, n'émerge qu'à partir d'un certain degré de complexité matérielle, d'agencement corporel. Donc, déjà, grosse limitation, et gros problème. L'homme ne choisit pas d'être libre, et s'il l'est, il peut perdre sa liberté, non volontairement, non moralement, non métaphysiquement, mais par dégradation physique.

Ensuite, à partir de quel seuil de complexité cérébrale la liberté est-elle susceptible d'émerger en l'homme?

Gros problème. Peut-être peut-on envisager le liberté comme indétermination croissante, mais elle s'enracine alors dans le corps, est fonction du cerveau et n'est donc pas du tout l'équivalente du libre-arbitre. Cette position que l'on retrouve par exemple chez Bergson ou Teilhard de Chardin, présuppose de plus une spiritualité.

 

Mais cela ne devient pas du tout évident, dans le cadre d'un monisme matérialiste, d'admettre que la matière-énergie contienne le pouvoir, ait la propriété de produire, de créer à partir de ses arrangements de la liberté, une liberté qui la transcence et lui échappe, liberté qui tout à la fois dépend d'elle et déborde de ses conditions de possibilité.

Cela ne va pas de soi. On peut faire comme si, certes, et d'ailleurs toute notre société fait comme si. Toutes nos institutions sont fondées sur un postulat métaphysique qui s'ignore et qu'elles ne considèrent pas comme tel.

 

En fait, soit la liberté est pure illusion et chimère, soit elle est un accroissement des possibles, de l'indétermination s'enracinant dans la complexité corporelle et fluctuant avec elle.

Mais de la responsabilité fondée sur le libre-arbitre je n'en vois nullement ici.

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19 juillet 2012 4 19 /07 /juillet /2012 15:13

 

On considère généralement le désir comme le propre de l'homme. Il se distingue du besoin car il est lié à l'imagination et est potentiellement illimité, insatiable.

Certains penseurs le condamnent. Les Bouddhistes pensent que la souffrance domine le monde. Or, comme ils pensent que le désir en est l'origine, il faut le supprimer, c'est-à-dire couper le mal à la racine.

Schopenhauer reprend cette théorie. Puisque la vie oscille perpétuellement entre le désir qui implique un état de manque, et la satisfaction du désir qui implique désillusion et ennui, et ainsi de suite, le but est de supprimer tout désir, toute affirmation du vouloir-vivre en soi, et si c'est trop difficile, de l'affaiblir le plus possible.

Cependant, le désir peut être envisagé positivement si l'on considère que la vie peut être bonne, et qu'il pousse l'homme à vivre. Mais pour ne pas se faire déborder, ne pas être en état d'insatisfaction permanente, tout en en préservant ce qui en constitue la valeur, il faut tenter de modeler les désirs sur les besoins naturels. C'est, en gros, la positions des Epicuriens, des Stoïciens, des Taoïstes. Mais là encore, est-ce une conception totalement satisfaisante ?

On peut se demander pourquoi la mesure plutôt que l'excès ? Pour un peu plus d'équilibre, un peu plus de durée de vie ? Mais si la nature nous a pourvus de la capacité de désirs excédant nos besoins naturels, cela doit avoir son rôle, sa fonction. N'est-ce pas s'amputer d'une part de nos possibilités que de le réduire à nos besoins naturels, comme si l'on abolissait volontairement une de nos spécificités d'humain pour se calquer sur le monde animal ?

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19 juillet 2012 4 19 /07 /juillet /2012 15:03

 

On entend couramment des Bouddhistes dire : "Il faut vaincre la peur de la mort". Pourtant, il est normal, naturel et sain de la craindre, et pathologique de ne pas la craindre. La peur est liée à l'instinct de conservation. Sans elle, nulle vie et perpétuation possible. Or, la vie veut vivre.

C'est la nature qui nous a donné la peur, peur qui nous prévient d'un danger et nous prépare corporellement à y faire face afin de nous préserver.

De même, lorsque j'entends des matérialistes épicuriens dire qu'il ne faut pas craindre la mort et que la vie est désirable, je trouve cela illogique. Si vie et valeur sont consubstantielles, que la vie est justifiée, qu'on lui reconnaît des possibilités absentes de la mort, et qu'on essaie de la préserver, on est bien obligé d'assumer son corollaire, à savoir que la mort, en tant que fin de la vie, du désir, des possibles, de la conscience personnelle, de la jouissance, des sentiments, des perceptions, des possibilités d'apprentissage, des relations, est un phénomène certes naturel, mais peu attractif.

 

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19 juillet 2012 4 19 /07 /juillet /2012 13:41

 

Un poncif : " Dieu n'existe pas car s'Il existait, comment aurait-il permis la mort des enfants ?"

Donc, soyons Panthéistes ou athées!

Cela passe pour évident et c'est stupide à maints égards.

 

D'abord, considérer la mort de l'enfant comme injustifiable, l'absolument scandaleux, c'est le sacraliser, donc finalement l'inscrire dans un rapport à Dieu et présupposer l'existence de Dieu. Car dans un contexte naturaliste, l'enfant n'a pas de valeur absolue et sa mort n'apparaît pas comme un scandale plus tragique que tant d'autres morts.

 

Ensuite, supposons que Dieu ait rendu impossible la mort des enfants, qu'ils ne puissent mourir ni de maladies, ni d'accidents. Cela supposerait un monde tout autre, avec des lois naturelles complètement différentes, ou bien une intervention surnaturelle soit abolissant toute mort  de la vie, soit la repoussant  jusqu'à un certain seuil. Dans ce dernier cas, on s'habituerait et on se dirait : "Pourquoi Dieu laisse intact nos enfants jusqu'à l'âge de 4,5,15,18 ans ou autres et nous les enlève arbitrairement d'un coup après?

On voit que finalement le problème resterait et que donc, c'est la mort qui pose problème, qui est le vrai problème, pas la mort des enfants.

 

Et enfin, si l'on y réfléchit un tant soit peu, le vrai scandale serait qu'il n'y ait pas de Dieu, ce qui contredit le premier argument, mais est une autre façon de voir les choses.

Car s'Il n'existe pas, comment y trouver du sens et le justifier ?

Par contre, s'Il existe et qu'Il est le garant du sens du monde, alors la mort d'un enfant est incluse dans ce sens, et si on ne sait pas pourquoi, à quoi cela aboutit, il y a néanmoins quelque chose qui nous dépasse et l'englobe.

Qui sait, peut-être y a t-il survie personnelle et retrouvailles alors?

 

 

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19 juillet 2012 4 19 /07 /juillet /2012 13:26

 

On connaît l'argument classique : "La mort ne nous concerne pas car vivants elle ne nous affecte pas et morts nous n'en aurons pas conscience".

Je trouve bien faible ce genre d'arguments. Je suis vivant et à ce titre, il s'offre à moi un grand nombre de possibilités, comme les voyages, les rencontres, divers apprentissages, une gamme de perceptions et d'émotions auxquelles la mort mettra fin.

Si je devais considérer vie et mort comme strictement équivalentes, pourquoi devrais-je lutter pour préserver ma vie ? Pourquoi chercherais-je à le faire? Quel intérêt ? Pourquoi d'ailleurs la nature aurait-elle pourvu les êtres vivants en général de l'instinct de conservation, s'il n'y avait pas une valeur propre du vivant, poussant à préserver et perpétuer la vie, et luttant de fait contre la mort ?

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30 décembre 2011 5 30 /12 /décembre /2011 13:22

 

Notre société marche à l'envers. Quantité d'individus, d'entreprises, de personnalités consultent des voyants, numérologues, gourous et charlatans de toutes sortes, et les paient une fortune, tandis que les philosophes qui ont fait des études sérieuses, et peuvent expliquer qu'on ne peut pas prédire l'avenir parce que celui-ci n'existe pas, avec une argumentation Bergsonienne par exemple, sont laissés sur le carreau et vivent du RSA, ou sont employés comme caissier, plongeurs, guichetiers, téléconseillers etc

Pourtant, avec leurs bagages, eux aussi pourraient choisir l'arnaque, et la faire payer au prix fort, mais ils ne le font pas !

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30 décembre 2011 5 30 /12 /décembre /2011 13:15

 

 Partout où le monothéisme s'est implanté, il a voulu détruire les cultures auxquelles il s'est substitué.

Les Musulmans ont cherché à supprimer les vestiges du Bouddhisme en Asie centrale.

Que dire des missionnaires Chrétiens? Leur influence a été catastrophique. Partout où ils sont passés, chez les Amérindiens, les Polynésiens, les Aborigènes, les Celtes, ils ont tenté de détruire tout ce qui les précédait, et y sont presque parvenus. Ils ont imposé leur superstition aux croyances naturalistes, bien plus scientifiques, bien plus logiques, que partageaient  ces Peuples qui ont perdu leurs racines et le contact avec la nature et la vie.

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29 décembre 2011 4 29 /12 /décembre /2011 18:06

 

  Le dialogue entre les religions, surtout les 3 grands monothéismes, pose des problèmes insoupçonnés. Evidemment, chacun de leurs membres pense être dans le vrai, ce qui génère un prosélytisme plus ou moins avoué et de l'intolérance.

Cependant, il y a une  perspective qui n'a pas été envisagée, c'est l'inégalité inévitable de la reconnaissance mutuelle entre ces religions.

En effet, le Judaïsme est reconnu par le Christianisme et l'Islam comme religions authentiques, avec un livre sacré. Les Juifs, eux, ne reconnaissent de légitimité ni à Jésus, ni à Mahomet. Les Chrétiens se considèrent comme l'accomplissement de la Torah, mais pour eux, Mahomet n'est pas un prophète, mais un hérétique, et le Coran n'est pas un livre sacré. S'ils pensaient l'inverse, ils se convertiraient à l'Islam.

Pour l'Islam, Abraham et Jésus sont des prophètes, et Mahomet est le sceau des prophètes. Par conséquent, les Juifs et les Chrétiens sont protégés, en tant que "Peuples du Livre", mais leur approche du divin est jugée incomplète et parfois erronée, et ils devraient se convertir à l'Islam.

C'est tout le problème, et c'est pourquoi l'Islam engendre nécessairement plus de fanatiques. C'est la frustration qui les y pousse. En effet, ils reconnaissent une légitimité aux Juifs et aux Chrétiens mais ni les Juifs ni les Chrétiens ne les reconnaissent comme légitimes, ce qui crée un déséquilibre.

Ainsi, le drame du Musulman, c'est qu'il lui faut nécessairement convertir le non Musulman pour être respecté, pour être reconnu par lui, tandis que les Chrétiens sont reconnus par les Musulmans, et les Juifs par Chrétiens et Musulmans, ce qui atténue leurs besoins de convertir autrui.

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