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5 novembre 2021 5 05 /11 /novembre /2021 23:47

Si j’avais un ami malade, si je voulais voir un proche en Ehpad, je ne pourrais pas. Ce serait, également, une souffrance pour l’ami, le proche. Combien de vaccinés sous contraintes pour cette raison ? Et ne parlons pas du fait même d’enfermer les personnes âgées dans des Ehpad, ce qui est une abomination, mais ce n’est pas le sujet…

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5 novembre 2021 5 05 /11 /novembre /2021 23:46

You tube supprime désormais toutes les vidéos n’allant pas dans le sens des dominants. Ils ont supprimé 130000 vidéos contre le Pass. Nous entrons dans un totalitarisme technologique, où on ne peut plus s’exprimer. Entre une dictature militaire et Macron, je choisis la dictature militaire (c’est dire ma colère car je combats l’armée dans son essence même qui en fait l’armée).

 

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5 novembre 2021 5 05 /11 /novembre /2021 23:46

 

Entendu une sénatrice républicaine dire « Il faut prolonger jusqu’en février, car les Français ont été des élèves sages et obéissants ». Chère Madame, les Français ne sont pas des enfants. Ils n’ont pas à être « sages et obéissants ».

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5 novembre 2021 5 05 /11 /novembre /2021 22:36

Entre la troisième dose, qui inquiète, l’incompréhension du vaccin pour les enfants, qui ne courent naturellement pas de risques et pour qui le vaccin présente plus de dangers que de bénéfices, et le scandale, tue, du Pfizergate, le Peuple commence à s’éveiller. Les gouvernants trouveront bien un stratagème, attentat, rebond épidémique, pour étouffer la vérité et la révolte. Pour l’instant, seuls les Martiniquais résisten

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4 novembre 2021 4 04 /11 /novembre /2021 23:51

On entend sans cesse valoriser le travail, « la valeur travail », « travailler plus » etc… Méditons un instant sur ces phrases de Laborit « L’Homme est un être de désir. Le travail ne peut qu’assouvir des besoins. Rares sont les privilégiés qui réussissent à satisfaire les seconds en répondant au premier. Ceux-là ne travaillent jamais ».

Pour la plupart des hommes, le travail est une torture, qui pourrait être évité si l’homme n’était pas au service du Capital. Tout dans notre société, les religions, les psychiatres, les journalistes sont au service du pouvoir, et cherchent, non à libérer les forces créatives de l’individu, mais à le conformer, à l’adapter aux normes néolibérales de productivité, performance, compétition…

On escamote le problème de la mort par le recours à des arrières-mondes hypothétiques, des divertissements haïssables tellement ils sont obscènes et abrutissants, des drogues aux effets d’inhibition. Qu’est-ce que la méditation « de pleine conscience », si ce n’est une méthode dépourvue de toute critique sociologique, philosophique, économique, une méthode standardisée, mécanique, où la pensée est bannie, et dont la visée est une réforme intérieure qui doit permettre de s’adapter à l’instabilité économique, à la flexibilité, aux normes en vigueur, sans associer mal-être intérieur et conditions réelles d’existence, de travail, environnement.

Alors, contre toutes ses malveillances, moi, je dis « Travaillez moins, beaucoup moins ». La vie est courte, vous allez mourir très vite, et après il y aura un néant éternel. Si, en plus, vous passez votre vie toute occupée par un travail que vous détestez, ou qui n’a pas de sens, ne vous épanouit pas, remplissage temporel absurde, vous arriverez à la fin de votre vie sans jamais avoir accompli quelque chose de personnel, dont vous pourriez être réellement fier. Il faudrait donc, comme le préconise Lafargue mais aussi Russell, travailler maximum 3h par jour.

Je termine par Thoreau : « Je m’en allais dans les bois, parce que je voulais vivre sans hâte, vivre intensément et sucer toute la moelle de la vie, mettre en déroute tout ce qui n’était pas la vie, pour ne pas découvrir à l’heure de ma mort que je n’avais pas vécu. » « Walden ou la vie dans les bois ».

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4 novembre 2021 4 04 /11 /novembre /2021 23:51

 

Les femmes sont souvent plus hargneuses que les hommes. J’ai remarqué que les femmes disposant d’un pouvoir quelconque avaient un aspect castrateur, sadique marqué, comme si elles testaient jusqu’où elles pouvaient aller jusqu’à la légitime réponse. Or, à la radio, à la télé, on leur oppose des imbéciles qui ne savent pas répondre. Ainsi, après l’impossible Estelle Denis, Apolline de Malherbe, l’insignifiance, la médiocrité et le conformisme incarnés, qui avait fait la leçon à un intervenant sur les « lois de la République ». Or, personnellement, je me contrefous de la loi, car il y a une distinction importante entre légalité et légitimité. Ex  avec l’avortement. Il y a 100 ans, il était illégal. Il est maintenant légal. Il y a donc nécessairement un moment où la loi était illégitime, que ce soit il y a 100 ans, ou actuellement. De même, il était obligatoire légalement de partir à la guerre en 14, en 39, en Algérie etc… Maintenant, on nous muselle. Après la ceinture de sécurité obligatoire, véritable camisole, bientôt le casque pour piétons. D’ailleurs on nous interdit de fumer face à la mer. Bientôt, des drones nous survoleront, et on ne pourra plus méditer et rêver devant la mer, ce que j’aimais particulièrement. Inutile d’écrire que face à la violence d’une telle loi, il reste une seule alternative, soit lutter, soit fuir. Lutter par la révolte, et fumer quand même, ou si ce n’est pas possible, se jeter à la mer pour en finir une bonne fois pour toutes avec toutes ses restrictions liberticides, toujours au nom de notre bien, évidemment.

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4 novembre 2021 4 04 /11 /novembre /2021 23:49

Il existe un, des courants actuels du féminisme qui desservent leur cause.

-Haine des hommes hétéros blancs, on ne sait pourquoi, car ils sont moins violents envers les femmes que tout autre peuple.

-Critique de faux problèmes. La galanterie française comme violence faite aux femmes car censée les confiner à un statut de « fragile victime ». Mais d’abord, ce sont elles qui, hélas, s’exposent telles, se voient telles. C’est paradoxal de vouloir montrer qu’on est forte et se victimiser tout le temps. D’autre part, cette critique de la galanterie peut se discuter en effet, mais il y a des priorités. Entre la lapidation, les viols, l’excision de millions de femmes, et la stigmatisation de la courtoisie, et orienter ses combats sur cette courtoisie, c’est non seulement ridicule, mais criminel.

-L’écriture inclusive, qui est une novlangue destructrice de toute culture.

-Le désir d’insister sur des femmes écrivains, auteurs, et de les mettre en valeur à tout prix, ridicule quand on compare les figures mises en avant aux classiques. Annie Ernaux, Angot, Nothomb, Vargas, Despentes par exemple. Du roman de gare, et ce n’est pas les mépriser que de dire qu’elles n’ont aucune valeur par rapport à Balzac, Proust, Céline, Dostoïevski ou Tolstoï, et qu’aucune femme, à ma connaissance, n’a réalisé une œuvre d’une profondeur égale à ces hommes. On peut le déplorer, regretter les nombreux déterminismes l’expliquant, mais c’est un fait. Démagogique de placer Virginia Woolf et Balzac sur le même plan. Il n’y a, à ma connaissance, aucun génie de la littérature de sexe féminin. Et il serait très facile de dire que c’est parce que l’histoire est écrite par des hommes. Car il y a des raisons que l’on peut exprimer sur cette différence de valeur, de même qu’entre Dostoïevski et Paulo Coelho. Tout ne se vaut pas. Il y a une hiérarchie. Et les préjugés masculins, machos envers les femmes écrivains se révèlent hélas fondées quand on observe la médiocrité des productions féminines actuelles, la nullité, l’absence de profondeur, d’intelligence des femmes écrivains, nullité abyssale, niaiserie de l’écriture, absence d’idées, manque d’amplitude et de souffle etc Ex avec Jane Austen : De petites historiettes tout au plus, un peu subversives, mais rien de comparable à un chef d’œuvre comme « Le Voyage au bout de la nuit ».

Quant au travail, il est triste de constater que ce que demandent les femmes avant tout, c’est d’intégrer le système marchand à égalité avec les hommes, et d’accéder au pouvoir, à la domination mesquine. Une citation de Laborit l’illustre : « A tel point que la femme qui aujourd’hui revendique une égalité avec l’homme, ne l’envisage le plus souvent que dans le cadre de l’ascension hiérarchique professionnelle, celui des satisfactions matérielles liées au statut hiérarchique, qui est fonction lui-même du degré d’abstraction atteint dans l’information professionnelle. Ce que la femme exige avant tout, c’est d’entrer à armes égales dans le processus de production et de bénéficier des mêmes gratifications que ce processus octroie. » « Eloge de la fuite ; La vie quotidienne »

 

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1 novembre 2021 1 01 /11 /novembre /2021 21:36

 

Cette crise a révélé qui nous sommes, au fond. On critique les américains et leur culte des armes, mais si nous avions eu des armes, nous aurions pu nous protéger et renverser ce gouvernement illégitime. On peut se demander si tous ceux qui nous empêchent de vivre, c’est-à-dire non les vaccinés, mais les pro Pass sanitaire, devraient être, sinon éliminés, poursuivis et condamnés aux travaux forcés. On ne peut pas éliminer la moitié de la France, ce ne serait pas raisonnable, même s’ils le méritent. Mais est-ce si sûr qu’ils le méritent ? Ils sont si bêtes, si désarmés, et le pire ce sont les professeurs, les cadres, les responsables. On pourrait les croire plus lucides, mais étant les mieux intégrés, ils ont moins de distance que les autres, profitant du système, ils en perçoivent moins la violence, et il faudrait, faudra peut-être être clément à leur égard. Je pense à l’un d’eux plus particulièrement, un spécialiste de Grèce antique et de Foucault. Il est si stupide. Et avec Laborit, je reprends Jésus « Pardonne-leur parce qu’ils ne savent pas ce qu’ils font ». Ils ne savent pas, et sont si englués dans leurs préjugés qu’ils ne pourront jamais savoir, se réveiller.

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1 novembre 2021 1 01 /11 /novembre /2021 21:35

 

La violence épouvantable qui nous est faite se normalise, comme en toute dictature. Nous gênons nos amis vaccinés, si nous leur parlons de nos problèmes d’accès, de tout ce qui nous est refusé. Nous les gênons dans leur confort, leur inconscience. Ils ne veulent surtout pas voir. Prêts à manifester pour des étrangers oppressés aux 4 coins du monde, ce qui ne leur coûte rien et leur donne bonne conscience, ils ne s’indignent pas, quand, dans leur propre pays, leurs amis sont stigmatisés, traités comme des parias, empêchés de vivre. La situation devient normale pour eux, et ils oublient. Ah comme il est facile de soumettre une population. Par la peur, la propagande  et le mimétisme. Et la lâcheté aussi…

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1 novembre 2021 1 01 /11 /novembre /2021 21:34

 

On culpabilise les non vaccinés. « C’est pour les autres ». D’abord, nous non vaccinés, résistants, nous n’empêchons personne de se faire vacciner. Ensuite, il a été dit que les risques étaient minimes pour les enfants, les adolescents, les trentenaires, etc. Alors pourquoi menacer des millions de vies d’effets secondaires s’ils ne courent, courraient que des risques minimes ? Quant aux personnes âgées, elles peuvent se faire vacciner si elles le souhaitent.

On est en train de se servir d’un pseudo rebond pour maintenir le Pass, le laissez passer ! Sait-on que cet ordure de Macron voulait vacciner tous les détenus de force ?

En fait, ce qui est mis en place, c’est un test, un gigantesque test de servilité. Jusqu’où on peut aller ? Or, en exploitant les peurs, en y allant progressivement, on s’aperçoit qu’on peut abolir toute liberté beaucoup plus facilement qu’on l’aurait supposé. Je n’ose imaginer ce que l’on nous fera subir, après un nouvel attentat, une nouvelle épidémie (pour notre bien évidemment, notre confort, notre sécurité). Le monde que l’on nous prépare, où l’on est déjà, est atroce. Et ni la lutte, ni la fuite ne semblent plus possibles. Le travail médiatique de sape a fait son œuvre.

 Et comme en Union soviétique, les écrivains, les dissidents, bien seuls à résister, sont poussés au suicide.

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