D’un certain côté, je suis optimiste. Je sais que l’islam va, à terme, disparaître, comme une religion désuète, grotesque et barbare.
Si les arabes ont en moyenne 10 à 20 points de QI de moins que les Européens, ce n’est pas pour des raisons génétiques (encore que…), mais certainement dû à l’influence du coran, ce mauvais livre, sans idées profondes ni beauté littéraire, qui a bridé, perverti, inhibé l’intelligence et l’esprit de populations immenses pendant 1400 ans. Ce n’est pas rien.
Or, ces musulmans, qui ne sont plus en phase avec le temps, la philosophie, la science, l’éthique, vont soit abandonner leur religion pour s’adapter et survivre, soit seront éliminés, car trop en retard sur le milieu, dépassés, comme ces brutes du Caucase, Tchétchènes, Daghestanais, tout juste bonnes à la bagarre, quand le frêle Einstein découvrit ce qui allait engendrer la bombe atomique.
Les musulmans, sorte de vestiges de races humaines mortes et fossilisées, parqués dans leurs cavernes, réduits à un seul livre qui ne leur donne aucune connaissance réelle et pratique, ne pourront pas survivre. La sélection naturelle ne leur permettra pas.
Et le contraste entre les vérités scientifiques qui donnent prise sur le monde, et les aberrations de l’islam, génère trop de dissonance cognitive chez les musulmans, ce qui les oblige à quitter leur religion, ou bien les pousse dans une insupportable schizophrénie. Et de fait, écoutez-les défendre leur religion sur les chaînes d’apostat. Ils sont tous dans l’ignorance et le délire.
Maintenant, une question : Dans un pays laïc, on supporte les religieux. Mais est-ce aux êtres cultivés, raffinés, de chercher la discrétion ? Car désormais, ce sont les religieux qui semblent, tout juste, nous supporter. Pour combien de temps ?