Hier, face à l’église Notre-Dame, il y avait un spectacle avec de grands chevaux blancs. Une barrière séparait ceux qui peuvent s’approcher des autres. Il y avait des vigiles et une voiture de police. Je suis entré et j’ai dit qu’on allait placer des bombes.
Aujourd’hui, j’ai craqué, au marché de Noël de Poitiers, place Maréchal Leclerc. J’ai vu des cabanes grises, ceinturées pas des grillages, des barrières, des vigiles à l’entrée. Un vrai camp de concentration. Les gens, docilement, montraient leur Pass. Ce n’était pas prémédité, mais j’ai hurlé que c’était un camp de concentration et donné un grand coup de pied dans une barrière. Voir tant de docilité, de « servitude volontaire », une telle abjection m’a horrifié. Mais qu’attendre d’hommes et femmes élevés aux bouffonneries et niaiseries télévisuelles actuelles ?
Volonté d’asservissement manifeste de la population, avec ces animateurs complètement décérébrés. Une mesure s’impose. Pendre toute cette clique par les pieds. J’ai pensé que si j’étais entré de force à l’intérieur de ce camp de Noël, les flics seraient venus me chercher, et personne n’aurait réagi. J’aurais été menotté, emmené de force sous le regard hébété, indifférent de collabos, juste parce que je ne suis pas vacciné.
Comme dans le pire des films, le pire des livres. Et c’est réel !
